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Par Anonyme, le 01.12.2023
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Par Anonyme, le 01.12.2023
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Date de création : 01.03.2007
Dernière mise à jour :
16.04.2021
3739 articles
"les histoires d'amour finissent mal...en general
...Moore n'a rien perdu de son flair pour sélectionner les illustrations les plus saisissantes des dérives (ou de la vraie nature) d'un système
On découvrira donc, en début de film, les "polices de gueux morts" (dead peasant policies) que les grandes firmes américaines prennent sur la vie de leurs salariés, afin d'ajouter à leurs bénéfices commerciaux les revenus non imposables qu'apportent les décès prématurés de leurs collaborateurs. Ou la maison de correction privée du comté de Wilkes-Barre (Pennsylvanie), dont les gestionnaires rémunéraient les juges qui leur envoyaient de jeunes pensionnaires. Bien sûr, l'essentiel de l'argumentaire tourne autour du krach financier de l'automne 2008 et de ses causes...LeMonde
Capitalism : A love Story, deux extraits du nouveau Michael Moore
Crise, krach, Moore
Son nouveau brûlot, « Capitalism : a Love Story », est son meilleur film depuis « Roger and Me ». Comme à son habitude, Moore y va au bazooka. La thèse est simple, mais dans la lignée de Stiglitz ou de Krugman, elle n'est pas simpliste : au début des années 1980, Ronald Reagan, conseillé par les banques de Wall Street, Merrill Lynch en tête, a lancé une vaste opération de dérégulation planétaire, enrichissant les plus riches au détriment de la classe moyenne. Le miroir aux alouettes du « subprime » a achevé de ruiner les candidats à la propriété les plus fragiles.
Voyez cet agent immobilier de Miami qui a fièrement baptisé son agence « Vautour Immo ». Il revend des maisons saisies. Il cède pour 350.000 dollars une maison achetée 800.000par ses anciens propriétaires. « Bienvenue à Miami crash », lance-t-il fièrement avant de se justifier : « Tout le monde a envie de profiter du malheur des autres. Les vautours ne tuent pas, ils nettoient...LesEchos
...au cinéma Castillet jusqu'au 1er décembre bd Wilson à Perpignan
L'économie en crise
L'explosion de la dette publique menace les économies occidentales
Si les causes de l'explosion sans précédent de la dette publique sont connues – chute des recettes fiscales liée à la récession, flambée des dépenses publiques pour soutenir l'économie –, ses conséquences le sont moins. Or, à l'aune de cet état de fait, les pays riches pourraient voir leur stabilité mise en péril. Selon l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), les trente pays les plus avancés du globe verront leur dette grimper jusqu'à 100 % de leur richesse produite en 2010, signalant le quasi-doublement de leur endettement en vingt ans. Le Japon verra sa dette publique flirter avec les 200 % de son produit intérieur brut, suivi par l'Italie (127,3 %) et la Grèce (111,8 %), selon ces prévisions.
"Une dette à 100 % du PIB signifie que tout ce qui a été produit pendant un an devrait être consacré au remboursement. Les gouvernements sont-ils en situation de le faire ?", s'interroge le Center for European Policy Studies, à Bruxelles...LeMonde
QUELQUES REFLEXIONS SUR L’ETAT D’URGENCE
Le barnum politico-financier de ces derniers mois fait affleurer l’idée que nos sociétés s’organisent comme un spectacle sur lequel nul n’a prise. Quelle est la raison de cette paralysie générale. S’agit-il de montrer que la crise financière fonctionne comme un théâtre et détourne l’attention tandis qu’à l’arrière-scène, des actifs tangibles changent de main grâce à l’argent public ? De cela, nous n’en n’avons jusqu’ici, guère parlé sur le blog, est-ce urgent ?
De la même façon que l’établissement du prix ne fonctionne pas selon notre représentation de l’offre et la demande, mais sur le rapport de force entre personnes ou groupes sociaux, nous pouvons comprendre que le capitalisme est structuré à la façon d’un spectacle, avec précisément le même objectif, évacuer la perception des rapports de forces.
La médiatisation par l’échange de « marchandises images », instaure un mode d’interaction dans lequel personne ne songe à monter sur la scène, mais se contente de siffler ou d’applaudir.
Comme au Grand Guignol
Les quelques derniers billets publiés sur le blog attitrent l’attention sur la dimension « spectaculaire » de la crise. De même que la présence d’une arrière-scène est une condition nécessaire au spectacle, la transparence et l’opacité des banques se renvoient l’une à l’autre, l’invisibilité des coulisses est nécessaire à la création de la visibilité de la scène.
Sur le même mode, le réseau mondialisé des sociétés-écrans s’est-il tissé depuis quarante ans pour dessiner le paysage de la mondialisation. Le circuit caché de l’argent est devenu si serré que l’opacité de la Fed en parait « cristalline ». Autre point, la société du spectacle organise l’effacement de la mémoire, car si nous en avions la mémoire nous pourrions retourner son histoire contre elle-même, c’est ce que tente Jorion lorsque, de façon à contrer l’oubli, Jorion sort un taquet et signale l’état d’urgence.
État d’urgence ? Comme précisé ailleurs sur le blog, la crise met en évidence le fonctionnement normal du cours des choses. Le « panel » diamétralement opposé du sénat américain relativement au « contrôle » ou l’autonomie de la Fed ouvre ainsi largement le champ du curseur, mais du même coup entérine le fonctionnement de la Fed comme metteur en scène économique. Appliquer l’image du spectacle à la société serait-il trompeur ?
Poussons plus loin. Comme au Grand Guignol, nous ne savons plus ce qui fait notre plaisir, frissonnons-nous de peur feinte ou d’admiration pour les grosses ficelles qui nous font trembler. Et ne me dites pas que la crise ne fonctionne pas comme un spectacle ! Quand les peuples montent-ils sur la scène pour empêcher « le vilain de faire du mal à l’innocente » ? Avons-nous une autre explication à la paralysie qui nous saisit tous et toutes...Blog Paul Jorion
cincinatus a dit :
"Si on ne peut comparer la situation de 29 avec l’actuelle, il n’en reste pas moins que la société dans son ensemble sera toujours comparable à cet animal, le varan de comodo, qui avance, pataud, lent puis tout à coup s’agite, s’excite, bondit devient violent, très violent pour ensuite s’apaiser et les neurones de l’animal (s’il en a) semblent ne rien dirigier du tout, comme ceux que nous élisons à notre tête.
Le varan est un espèce d’animal antédiluvien, qui, à notre époque serait en quelque sorte « hors de notre temps », n’aurait pas évolué (je nesuis pas biologiste) comme si nos « neurones collectifs » n’auraient pas la capacité de se réunir pour trouver la voie « du plus grand intérèt général »